Depuis le début du projet, l’année de 3e a toujours été un mystère.

En effet, avec toutes les autres échéances de l’année (DNB, mais aussi d’autres activités formatrices comme le BIA ou le diplôme de Cambridge), le temps accordé à un atelier apparait souvent comme un temps de trop. 

Cela a eu un impact sur l’effectif -très peu fourni- et sur le fond des ateliers, nécessairement plus légers. Il y a quelques années, une nouvelle formule a émergé sous forme d’un temps de midi lors duquel les élèves et un professeur pouvait parler des problématiques du moment. Cela a bien marché car le cadre moins formel et moins régulier arrangeait tout le monde. Néanmoins, il faut désormais rebâtir.

Plusieurs pistes sont à l’étude. Dupliquer la formule la plus récente, ou trouver quelque chose qui constituerait une passerelle entre collège et lycée.